
Marzouk Machine organise son karaoké !
Pouvoir dire, sous prétexte de chanter, ce qu’on n’oserait pas sans musique.
Crier à la face du monde ce que tu ne peux murmurer à celle ou celui qui se cache dans la foule.
Hurler.
Devenir le temps d’une chanson Céline, Johnny ou Balavoine.
C’est le moment de sortir cette robe rose à franges et à paillettes scintillante que tu n’as jamais osé porter avant.
Trois minutes d’exutoire, de liberté et de folie.
Viens chanter à t’en casser les cordes vocales et nous casser les oreilles.
On se moquera surement de toi. Mais comme l’a dit Dalida, la douleur est le terreaux de l’artiste.